D. Vigne (Institut catholique, Toulouse)
Peu nombreuses, en vérité, sont les références de Grégoire aux personnages de l’Ancien et du Nouveau Testament dans ces homélies. De fait, le propos de l’auteur n’est pas, comme dans le traité d’Origène, de justifier chaque affirmation dans un lien étroit et constant à l’Écriture. Il s’agit plutôt d’illustrations données comme au passage, mais dont le choix n’en demeure pas moins significatif et intéressant à examiner. La comparaison avec les références aux mêmes figures sous la plume d’Origène permettra d’en comprendre encore mieux les enjeux.